La photo et moi…

Mon histoire avec la photographie

Retour dans les années 80 & 90

Ma passion pour la photo a commencé lorsque j’étais enfant.

Je passais déjà énormément de temps à regarder les albums photos confectionnés par ma maman depuis sa jeunesse.

J’aimais observer ces visages et imaginer le moment qu’ils étaient en train de partager, j’aimais les belles expressions, j’aimais le joli minois de maman sur ses photos d’adolescente, j’aimais les photos en noir et blanc, j’aimais aussi celles en couleur avec leurs teintes jaunies par le temps, j’aimais tout ce que j’arrivais à ressentir grâce à ces photos qui me racontaient une histoire que je ne connaissais pas et qui me faisait voyager dans le temps.

C’est à l’âge de 10 ans que j’ai reçu mon premier appareil photo, un simple appareil argentique qui a été un de mes plus beaux cadeaux et qui m’a donné des souvenirs jusqu’à mes 18 ans.

Lorsque j’ai fêté mon dix-huitième anniversaire, aidée de la cagnotte récoltée à cette occasion, je suis allée immédiatement acheter mon second appareil. Je l’avais réfléchi, je voulais celui-ci et pas un autre. C’était une nouvelle fois un compact argentique de chez Minolta mais celui-ci il avait un super zoom et il était performant !

C’est dans le centre ville de Nantes, là où j’ai passé toute mon adolescence, que je suis allée tout d’abord retirer les 1100 francs (eh oui, nous sommes en 1997 !) dont j’avais besoin pour m’offrir mon précieux ! Une fois l’argent en poche, j’ai pris la direction ma boutique favorite « Shop photo vidéo » non loin de la place Graslin et quelques minutes plus tard, je suis ressortie le sourire jusqu’aux oreilles avec cet appareil qui m’a suivi durant de nombreuses années.

Christelle Hachet Photographie Enfant

5 ans… Et déjà un (faux !) appareil autour du cou !

Christelle Hachet Photographie Jeff Bernard

Les premiers portraits argentiques (Jeff Bernard)

Une histoire de transmission

Inspirée et guidée par la passion de mon beau-père pour la photographie, j’ai pu faire mes premiers pas vers des photos un peu plus abouties.

Cette sensibilité que j’avais développé depuis l’enfance m’avait poussé à immortaliser tous les gens que j’aime et tous les moments magiques de ma vie… Il m’était inconcevable (et c’est toujours vrai !) de vivre quoi que ce soit sans en figer un souvenir. Je me suis instinctivement dirigée vers le portrait car il était important pour moi de garder une trace des visages qui m’étaient chers mais j’aimais aussi beaucoup photographier les jolis paysages que je pouvais croiser sur mon chemin.

Il faut se remettre dans le contexte de l’époque, il n’y avait ni internet, ni téléphone portable. Lorsque l’on faisait de jolies rencontres de jeunesse, il ne nous restait que la photo développée sur papier pour nous remémorer le souvenir et la plume pour entretenir les liens. Tout ça avait une saveur bien différente d’aujourd’hui. Il fallait savoir attendre (même le développement de la pellicule !) et se contenter de peu. Quelques photos, quelques phrases…

La photo était pour moi un trésor inestimable, grâce à elle je pouvais revivre ces moments si chers à mon coeur et me plonger dans cette nostalgie qui me caractérise tant. Ça n’a d’ailleurs pas changé, je fais toujours autant de photos et j’aime toujours autant les regarder. Mon seul regret étant de ne plus les avoir autrement que sur un écran (les cordonniers les plus mal chaussés ?).

À cette époque, je passais la quasi totalité de mon argent de poche dans les pellicules photo. J’attendais les promos de fin de saison, celles où l’on trouvait des supers pellicules périmées à moindre coût. On disait que les couleurs n’en seraient que plus éclatantes… Et puis je faisais le stock… Lorsque je partais en camp de vacances avec 2 ou 3 pellicules de 36 poses, j’étais véritablement aux anges !

Une histoire de transmission

Inspirée et guidée par la passion de mon beau-père pour la photographie, j’ai pu faire mes premiers pas vers des photos un peu plus abouties.

Cette sensibilité que j’avais développé depuis l’enfance m’avait poussé à immortaliser tous les gens que j’aime et tous les moments magiques de ma vie… Il m’était inconcevable (et c’est toujours vrai !) de vivre quoi que ce soit sans en figer un souvenir. Je me suis instinctivement dirigée vers le portrait car il était important pour moi de garder une trace des visages qui m’étaient chers mais j’aimais aussi beaucoup photographier les jolis paysages que je pouvais croiser sur mon chemin.

Il faut se remettre dans le contexte de l’époque, il n’y avait ni internet, ni téléphone portable. Lorsque l’on faisait de jolies rencontres de jeunesse, il ne nous restait que la photo développée sur papier pour nous remémorer le souvenir et la plume pour entretenir les liens. Tout ça avait une saveur bien différente d’aujourd’hui. Il fallait savoir attendre (même le développement de la pellicule !) et se contenter de peu. Quelques photos, quelques phrases…

La photo était pour moi un trésor inestimable, grâce à elle je pouvais revivre ces moments si chers à mon coeur et me plonger dans cette nostalgie qui me caractérise tant. Ça n’a d’ailleurs pas changé, je fais toujours autant de photos et j’aime toujours autant les regarder. Mon seul regret étant de ne plus les avoir autrement que sur un écran (les cordonniers les plus mal chaussés ?).

À cette époque, je passais la quasi totalité de mon argent de poche dans les pellicules photo. J’attendais les promos de fin de saison, celles où l’on trouvait des supers pellicules périmées à moindre coût. On disait que les couleurs n’en seraient que plus éclatantes… Et puis je faisais le stock… Lorsque je partais en camp de vacances avec 2 ou 3 pellicules de 36 poses, j’étais véritablement aux anges !

Christelle Hachet Photographie Jeff Bernard

Les premiers portraits argentiques (Jeff Bernard)

Changement de siècle et évolution des pratiques

Au début des années 2000, le numérique est arrivé et les premiers appareils photos sont sortis.

Curieuse, je m’en suis offert un que j’ai revendu immédiatement tant j’ai été déçue par le rendu des images. C’était le début, ça n’avait évidemment rien à voir avec ce que l’on peut trouver aujourd’hui.

Je me suis alors équipée de mon premier reflex argentique et il aura fallu attendre 2006 pour que je bascule définitivement dans la sphère de l’image numérique.

C’est donc avec un compact numérique équipé de réglages manuels que j’ai commencé à m’intéresser plus techniquement à la photo.

Internet était devenu un outils courant, on était enfin sorti des modem avec les connections 56 k, le haut-débit était arrivé chez les particuliers et avec lui, les forum destinés à échanger autour de passions communes fleurissaient sur toute la toile. J’avais d’ailleurs moi-même créé un forum destiné aux possesseurs de Canon PowerShot G7 que j’ai quitté quelques mois plus tard lorsque j’ai acquis mon tout premier reflex numérique, le Canon EOS 50D !

C’est guidé par un ami photographe que je suis arrivée sur un autre forum (EOS numérique) en 2008 et c’est là que la seconde partie de mon histoire sérieuse avec la photo a commencé.

Après plusieurs échanges autour de notre passion pour la photographie, j’ai commencé à faire quelques sorties entre photographes amateurs. Rapidement, un autre forum s’est créé avec quelques membres d’EOS numérique et ça a marqué un des grands tournants de ma vie.

Je me suis rapidement sentie comme à la maison sur ce forum, j’ai participé à plusieurs sorties en France et j’ai à mon tour organisé quelques sorties et week-end pendant plusieurs années. Je me souviens même avoir emmené quelques « fous » à Londres !

C’est grâce à ce forum, « Fous de Reflex », que non seulement j’ai appris énormément au contact des autres mais que j’ai aussi rencontré une partie de ma famille de coeur. J’y ai rencontré des personnes de tous horizons, de tous âges, de tous milieux et j’y ai vécu des moments extraordinaires d’une intensité et d’une richesse inoubliable.

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Quelques souvenirs entre fous (de reflex ! )

Christelle Hachet Photographie Jeff Bernard

Les essais studio et premiers autoportraits

2010, 2015…et puis : aujourd’hui !

Les années sont passées, les réseaux sociaux sont arrivés et malheureusement, les forum ont été délaissés.

Ma passion pour la photo n’ayant jamais diminué, j’ai continué à apprendre grâce aux autres et à photographier tout ce qui m’inspirait. En premier lieu les gens, les concerts et les paysages. Je me suis aussi essayée à la photo studio avec à l’époque un bricolage « home made » et ma trombine comme sujet pour des autoportraits qui me font sourire aujourd’hui.

Totalement autodidacte, je me suis formée plus professionnellement au contact de photographes dont j’admire le travail, le style et la technique.

C’est alors que j’ai réalisé quelques Workshop autour de la photographie dite « sociale », notamment avec Agnes Colombo et Amandine Ropars. L’aventure en tant que professionnelle a débuté en 2014 suite à un changement de vie et de région. J’avais 35 ans !

Aujourd’hui, 10 ans plus tard, mon activité de photographe m’accompagne toujours et ce pour mon plus grand bonheur !

2010, 2015…et puis : aujourd’hui !

Les années sont passées, les réseaux sociaux sont arrivés et malheureusement, les forum ont été délaissés.

Ma passion pour la photo n’ayant jamais diminué, j’ai continué à apprendre grâce aux autres et à photographier tout ce qui m’inspirait. En premier lieu les gens, les concerts et les paysages. Je me suis aussi essayée à la photo studio avec à l’époque un bricolage « home made » et ma trombine comme sujet pour des autoportraits qui me font sourire aujourd’hui.

Totalement autodidacte, je me suis formée plus professionnellement au contact de photographes dont j’admire le travail, le style et la technique.

C’est alors que j’ai réalisé quelques Workshop autour de la photographie dite « sociale », notamment avec Agnes Colombo et Amandine Ropars. L’aventure en tant que professionnelle a débuté en 2014 suite à un changement de vie et de région. J’avais 35 ans !

Aujourd’hui, 10 ans plus tard, mon activité de photographe m’accompagne toujours et ce pour mon plus grand bonheur !

Christelle Hachet Photographie Jeff Bernard

Les essais studio et premiers autoportraits

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